Très attaché au monde organique qui l’entoure, Laurent emprunte à la nature des éléments tels que le bois ou la pierre qu’il utilise comme support d’empreinte. Le moulage permet de découvrir ce qui n’est pas une évidence au premier regard sur des formes et textures existantes. Le vide devient solide et épaisseur après l’application de porcelaine sur ces matières naturelles. L’utilisation d’émaux qu’il mixe et superpose révèle un second environnement parallèle. Un monde microscopique de cellules et de micro-organismes parsème les surfaces et oscille entre univers sous-marin et sous-terrain.